
HOUNDS OF LOVE – Des meutes d’amour
C’est dans les arbres,
Ça se rapproche.
Quand j’étais enfant, dans la nuit, je courais
Effrayée de ce qui pouvait arriver.
Je me cachais dans le noir,
Je me cachais dans les rues,
Et de ce qui me poursuivait.
Les meutes d’amour sont en chasse
J’ai toujours été lâche,
Et j’ignore ce qui est bien pour moi.
Oh, je m’enfuis,
Ça vient des arbres, ça se rapproche.
Oh, qui que vous soyez, aidez-moi,
Je vous en prie, aidez-moi.
J’enlève mes chaussures
Et je les jette dans le lac
En moins de deux, je serai dans l’eau.
J’ai trouvé un renard capturé par des chiens,
Il me laisse le prendre dans mes bras.
Son petit cœur, il bat si vite,
J’ai honte de m’échapper
D’une virtuelle réalité,
Mais je n’arrive pas à gérer
Je suis effrayée de me trouver là,
Parmi ces meutes d’amour,
Et de sentir tes bras autour de moi.
J’ai toujours été lâche,
Et je n’ai jamais su ce qui est bien pour moi.
Oh, je veux m’enfuir, ne me laisse pas partir,
Garde moi près de toi,
Ça vient des arbres, ça se rapproche.
Oh, aide-moi, chéri,
Je t’en prie, aide-moi,
J’enlève mes chaussures
Et je les jette dans le lac
En moins de deux, je serai dans l’eau.
Je ne sais pas ce qui est bien pour moi,
Je ne sais pas ce qui est bien pour moi,
J’ai besoin d’amour, d’amour, d’amour, d’amour, d’amour,
De ton amour.
Enlève tes chaussures
Et jette-les dans le lac
Tu sais de quoi j’ai besoin ?
Tu sais de quoi j’ai besoin ?
J’ai besoin d’amour.
RUNNING UP THAT HILL
Escalader cette colline
Cela m’indiffère,
Tu veux savoir ce que ça fait ?
Veux tu vraiment le savoir ?
Cela ne m'atteint pas.
Veux tu que je te parle du pacte que je suis en train de passer ?
C’est toi,
C’est toi et moi.
Si je le pouvais,
Je passerais un marché avec Dieu,
Et ferai en sorte qu’il échange nos places,
Je franchirai en courant cette route qui monte,
J’escaladerai cette colline,
J’escaladerai cet immeuble
Si seulement je le pouvais.
Tu ne veux pas me blesser,
Mais moi je vois la trace profonde des balles
Sans le vouloir, je te déchire en morceaux,
Dans nos cœurs, sévit l’orage.
A-t-on vraiment de la haine pour ceux qu’on aime ?
Oh, dis-moi que nous deux, c’est important, n’est-ce pas ?
Que toi,
Que toi et moi,
Que toi et moi, on ne sera pas malheureux.
Si je le pouvais,
Je passerais un marché avec Dieu,
Et ferai en sorte qu’il échange nos places,
Je franchirai en courant cette route qui monte,
J’escaladerai cette colline,
J’escaladerai cet immeuble
Si seulement je le pouvais.
Que toi,
Que toi et moi,
Que toi et moi, on ne sera pas malheureux.
Oh, allez,
Oh, allez, chéri
Laisse-moi te dérober ce moment,
Oh, allez, mon ange,
Oh, allez, allez, chéri,
Partageons notre expérience.
Si je le pouvais,
Je passerais un marché avec Dieu,
Et ferai en sorte qu’il échange nos places,
Je franchirai en courant cette route qui monte,
J’escaladerai cette colline,
Sans aucun problème.
Oui, si je le pouvais,
Je passerais un marché avec Dieu,
Et ferai en sorte qu’il échange nos places,
Je franchirai en courant cette route qui monte,
J’escaladerai cette colline,
Sans aucun problème.
Oui, si je le pouvais,
Je passerais un marché avec Dieu,
Et ferai en sorte qu’il échange nos places,
Je franchirai en courant cette route qui monte,
J’escaladerai cette colline,
Sans aucun problème.
Si seulement je pouvais escalader cette colline,
Sans difficultés
Si seulement je le pouvais, j’escaladerais cette colline,
Si seulement je le pouvais, j’escaladerais cette colline.
THE BIG SKY – L’immense ciel
Ils regardent en bas,
Plein de regrets,
Mais moi je n’adhère pas.
Je lève les yeux vers le ciel immense
Je regarde le ciel immense,
Je regarde ce ciel immense,
Tu ne m’as jamais comprise, tu n’as jamais vraiment essayé.
Ce nuage-là, il ressemble à l’Irlande,
Viens, que je t’embrasse.
Mais fais vite, car dans ce ciel immense, il y a du changement.
Il y a du changement dans le ciel immense.
On le regarde, ce ciel immense.
Tu ne m’as jamais comprise, tu n’as jamais vraiment essayé.
Et ce nuage-là, ce nuage, il me dit « Noah,
Viens, bâtis-moi un Arche,
Et si tu viens jusqu’à moi, saute !"
Car avec le ciel immense, nous partirons.
On attend la propulsion
Hup, hup, hup, vers ce ciel immense
On regarde vers le ciel immense.
Ma réponse, tu la veux ?
C’était quoi la question ?
Mon regard était rivé vers ce ciel immense
Vers ce ciel immense
Dites-leur, mes sœurs !
On tourbillonne comme un grand et gros nuage
En bondissant dans le ciel immense …..
On tourbillonne comme un grand et gros nuage
En bondissant dans le ciel immense …..
On tourbillonne comme un grand et gros nuage
En bondissant dans le ciel immense …..
On tourbillonne comme un grand et gros nuage
En bondissant dans le ciel immense …..
MOTHER STANDS FOR COMFORT
Une mère préfère la protection
Elle sait que j’ai fait quelque chose de mal
Mais elle ne dira rien.
Elle croit que j’étais avec mes amis hier,
Mais mes mensonges, elle s’en moque.
Mmh, parce-que
Une mère, elle protège
Une mère, elle dissimule l’assassin.
Ça brise la cage, la peur s’échappe et prend possession
C’est comme une foule qui crée une émeute à l’intérieur de soi,
Ça fait faire n’importe quoi,
Ça fait faire n’importe quoi.
Suis-je le chat qui pour elle attrape l’oiseau
La proie, et non le prédateur ?
Une mère, elle protège
Une mère cachera toujours le meurtrier
Une mère cache le forcené.
Une mère sera toujours là
Une mère, elle protège
Une mère sera toujours là
Une mère, elle protège.
CLOUDBUSTING - Bousculer les nuages
Je rêve encore d’Orgonon.
Je me réveille en pleurant
Tu fais tomber la pluie
Je peux presque te toucher,
Quand toi, et le sommeil, m’échappent.
Tu es comme mon yoyo
Qui brillait dans la nuit.
C’est ce qui le rendait spécial,
Le rendait dangereux.
Alors je l’enfouis,
Et je l’oublis.
Mais chaque fois qu’il pleut
Tu es dans ma tête
Comme le soleil qui se lève.
Alors je sais que quelque chose de bien va se produire
Je ne sais pas quand
Mais ça peut arriver, rien qu’en le disant.
Au sommet du monde,
En regardant au loin,
On pouvait les voir arriver.
Tu semblais si petit
Dans leur grosse voiture noire
Pour représenter une menace pour les hommes au pouvoir.
J’ai caché mon yoyo dans le jardin
Mais je ne peux pas te cacher
Du gouvernement.
Oh, mon Dieu, papa,
Je n’oublierai pas.
Mais chaque fois qu’il pleut
Tu es dans ma tête
Comme le soleil qui se lève.
Alors je sais que quelque chose de bien va se produire
Je ne sais pas quand
Mais ça peut arriver, rien qu’en le disant.
Mais chaque fois qu’il pleut
Tu es dans ma tête
Comme le soleil qui perce,
Comme ton fils qui se dévoile.
Alors je sais que quelque chose de bien va se produire
Je ne sais pas quand
Mais ça peut arriver, rien qu’en le disant.
Mais ça peut arriver, rien qu’en le disant.
On bouscule les nuages, papa,
Et ton fils se dévoile,
Ton fils se dévoile.
AND DREAM OF SHEEP – Et rêver de moutons
Cette petite lueur,
Cette petite lueur les guidera jusqu’à moi.
Mon visage est baigné de lumière,
Mon visage est baigné de lumière,
S’ils me trouvent en train de chevaucher des chevaux blancs
Ils ne me confondront pas avec une bouée.
Laissez-moi être faible,
Laissez-moi dormir,
Et rêver de moutons.
Attention, information maritime :
Phare de Bell Rock, Tiree
(Ile de Cromaty, à l’est de Gale)
Allez, viens près de moi !
Oh, je me réveille
A chaque bruit de moteur.
Chaque mouette est un bateau à ma recherche.
Je ne peux pas garder les yeux ouverts,
Dommage, je n’ai pas ma radio,
J'aurais pu me mettre au diapason de voix familières
Qui discutent de banalités
Je ne peux pas laisser libre cours à mon imagination.
Laissez-moi être faible,
Laissez-moi dormir,
Et rêver de moutons.
Ooh, leur souffle est tiède
Et ils portent l’odeur du sommeil
Ils me disent qu’ils vont me ramener chez moi.
Comme des coquelicots, lourds de semence,
Ils m’aspirent vers le bas,
Toujours plus profondément.
UNDER ICE – Sous la glace
C’est merveilleux,
Partout, tout est si blanc.
La rivière est toute gelée.
Sur la glace, pas âme qui vive,
Il n'y a que moi, qui patine à toute vitesse.
Je file à travers les arbres, en laissant
De petites lignes dans la glace,
Je trace de petites lignes dans la glace,
Qui se fend, dans un bruit de craquement.
Mes talons d’argent crachent de la neige.
Quelque chose bouge (sous la glace)
Bouge sous la glace, dans l’eau
Qui tente (c’est moi) de sortir de l’eau glacée (c’est moi)
Quelque chose (c’est moi), quelqu’un les aide.
WAKING THE WITCH – L’éveil de la sorcière
Réveillez-vous !
Bien le bonjour madame, c’est votre appel du petit matin !
Réveillez-vous,
Réveillez-vous,
Toi l’homme, réveille-toi !
Réveille-toi, mon enfant, ouvre les yeux,
Allez, debout !
Debout, trésor !
Tu ne devrais pas rester dans le noir,
Regarde plutôt l’éclat de ta petite lumière.
Sors de ta léthargie ! Debout !
Ne vois-tu pas cette petite lumière là-bas ?
Où ? Là-bas ? Où ?
Là-bas !
Tu es encore au lit ?
Debout, tête endormie !
Nous sommes faits des méandres de la mer,
Nous sommes faits de l’eau et de la terre sacrée de l’eau
On doit se réveiller !
Regardez qui est là pour vous voir !
Ecoute-moi, aide-moi, parle-moi, parle-leur, écoute-moi, aide-moi.
Vous n’allez pas brûler
Roses rouges,
Vous n’allez pas saigner,
Roses et œillets
Confie-toi à moi
Les roses rouges
Descends.
Spiritus sanctus in nomine
Spiritus sanctus in nomine
Spiritus sanctus in nomine
Spiritus sanctus in nomine
Pauvre petite chose,
Les roses rouges,
Le merle,
Les roses et les œillets,
Des ailes dans l’eau,
Les roses rouges,
Descends,
Roses et œillets.
Deus et dei domino
Deus et dei domino
Deus et dei domino
Deus et dei domino
Que se passe-t-il ?
Pardonnez-moi mon Père, pardonnez-moi mon Père, car j’ai péché.
Les roses rouges.
Aide-moi, écoute-moi, parle-leur.
Rose toute rouge.
Aide-moi.
Tu le sais ?
Je remets ton innocence en question.
Ce merle est une pierre autour de mon coup.
Ha ! Va en enfer, femme !
Ce merle est une pierre autour de mon coup.
Que vous dire à vous, les braves gens ?
Coupable ! Coupable ! Coupable !
Ce merle,
Je suis responsable de vos actions !
Whoa,
Non coupable !
Venez en aide à cet oiseau noir !
C’est l’éveil de la Sorcière,
Elle sort des remous, elle sort de l’eau.
WATCHING YOU WITHOUT ME
Il te regarde sans moi
(Qu’est-ce que c’est ?)
(Ça fait quatre, cinq, six, sept)
Tu ne m’entends pas
Tu ne m’entends pas
Tu n’entends pas ce que je dis
Tu n’entends pas ce que je te dis.
Tu fixes la pendule
Qui avance au ralenti.
J’aurais dû rentrer il y a des heures,
Mais je ne suis pas là.
Mais je ne suis pas là.
Tu ne peux pas m’entendre
Tu ne peux pas m’entendre
Tu ne peux pas me ressentir,
Ici dans la pièce avec toi.
Tu ne peux pas entendre ce que je dis
Tu n’entends pas ce que je dis, n’est-ce pas ?
Je ne peux pas te dire
Ce qui va arriver.
Il y a un fantôme chez nous,
Qui t’observe, sans moi,
Je ne suis pas là.
(Tu ne m’entends pas)
Je ne suis pas là
(Tu ne m’entends pas)
Mais je ne suis pas là
(Tu ne m’entends pas)
Ne m’ignore, ne m’ignore pas,
Laisse-moi entrer, ne traîne pas,
Ne m’ignore, ne m’ignore pas,
Laisse-moi entrer, ne traîne pas,
Ne m’ignore, ne m’ignore pas,
Laisse-moi entrer, ne traîne pas,
Ici on te voit, ici on te voit, ici on te voit, ici on te voit
Ici on te voit, ici on te voit, ici on te voit, ici on te voit
Tu ne m’entends pas entrer.
Aide-moi, aide-moi, parle-moi, écoute-moi !
(Tu ne m’entends pas).
Ecoute, écoute-moi, aide-moi, aide-moi chéri !
Parle-moi, parle-moi, je t’en prie chéri, parle-moi !
(Tu ne m’entends pas)
Tu ne m’entends pas partir.
JIG OF LIFE – La gigue de la vie
Bonjour, vieille demoiselle,
Je connais bien votre visage,
Je le connais bien.
Elle me répond :
"Ooh-na-na-na-na-na-na-na-na!"
Je serai assise pile dans ton miroir
C’est l’endroit où les routes se croisent,
Fouilleras-tu le futur ?
Ne dis jamais, jamais, adieu
A mon rôle dans ta vie
Non, non, non, non, non !
Laisse-moi vivre !
Elle me disait
De la laisser vivre
Elle me disait
De la laisser vivre
« Cet instant »
(Me disait-elle)
Ne t’appartient pas
(Me disait-elle)
C’est mon moment à moi
A ton petit garçon et à ta petite fille
Et à cette main qui applaudit toute seule
Là où sur ta paume se trouve ma petite ligne,
Quand tu as écrit dans la mienne,
Gravée comme un vieux souvenir ?
Ooh, na-na-na-na-na-na-na-na-na-na-na-na-na-na-na-na
Ne dis jamais, jamais, adieu
A mon rôle dans ta vie
Non, non, non, non, non !
Jamais, jamais, jamais !
Jamais, ne me laisse pas m’en aller !
Elle me disait
De la laisser vivre
Elle me disait
De la laisser vivre
Je pose ce moment, ici.
Je pose ce moment, ici.
Je pose ce moment, par ici !
Par ici !
Vois-tu où les souvenirs sont restés intacts ?
A naviguer sur l’eau comme une fille joyeuse
Le temps dans ses yeux qui engendre la vie
La seule avec l’océan et cette femme déployée
Et avec elle, tout l’amour qui t’attend.
Capture-nous maintenant car je suis ton avenir,
D’un baiser dans le vent, nous déplacerons la terre
D’ici à l’endroit où le Quand s’éternise,
L’attente dans ce monde creux,
Attendre l’Après, quand le spray de la vie se rafraîchit,
Puisque l’Instant vogue sur le creux de la vague.
Et tu danseras avec moi dans les bassins éclairés de lumière
Nous sommes faits du va et vient de l’eau
Nous sommes faits de l’eau dans la terre sacrée de l’eau
Et de tout ce qui charrie
En étant poussé vers le rivage.
HELLO EARTH – Bonjour la Terre
Bonjour la Terre,
Bonjour la Terre.
D’une seule main, levée très haut,
Je peux t’effacer, hors de ma vue.
Coucou, coucou, petite Terre.
Rien qu’avec mon cœur et mon âme,
Je peux être reconduite chez moi,
Et toi tu dors sur le siège.
Je sors de ma voiture,
Je marche dans la nuit,
Et je regarde le ciel.
J’y vois quelque chose qui brille,
Et qui se déplace vite.
Je la regarde s’éloigner, je la regarde s’éloigner.
Bonjour la Terre,
Bonjour la Terre.
Je regarde les orages qui se forment
Dans le ciel de l’Amérique
Je ne peux rien y faire
Juste les regarder se balancer avec le vent, au loin vers la mer.
A vous tous, les marins (éloignez-vous des vagues, éloignez-vous de l’eau)
A vous tous, les sauveteurs (éloignez-vous des vagues, éloignez-vous de l’eau)
A vous tous, les voyageurs (éloignez-vous des vagues, éloignez-vous de l’eau)
A vous tous, les pêcheurs, qui rentrez chez vous
Va te coucher, petite Terre
J’étais là à la naissance
A l’abri de l’orage, de l’origine de la tempête,
Assassine !
Meurtrière du calme !
Pourquoi suis-je partie ?
Pourquoi suis-je partie ?
Tiefer, tiefer
Irgendwo in der Tiefe
Gibt es ein Licht
Va te rendormir, petite Terre.
THE MORNING FOG – Le brouillard du matin
La lumière se met à saigner,
Se met à respirer, se met à parler.
Tu sais quoi ?
Je t’aime mieux à présent.
Je tombe comme une pierre, comme un orage
Qui renaît dans le doux brouillard du matin.
Tu sais quoi ?
Je t’aime mieux à présent.
Je tombe,
Et j’aimerais de garder à présent.
J’embrasserai la terre,
Je dirai à ma mère
Je dirai à mon frère
Je dirai à mon bien-aimé,
Je dirai à mes frères
Combien je les aime.