OPEN THE DOOR - ROGER HODGSON

 

Les titres

Along Came MaryThe More I LookShowdownHungryThe GardenDeath And A ZooLove Is A Thousand TimesSay GoodbyeOpen The DoorFor Every Man

ALONG CAME MARY 

Et  Mary est arrivée

 

[Intro – Discours de la princesse Elizabeth en temps de guerre, 1940)

« En toute honnêteté, je peux vous dire, à vous tous,

Que nous, enfants restés au pays, sommes remplis de joie et de courage.

Nous nous efforçons d'apporter tout notre soutien à nos vaillants marins, soldats et pilotes.

Et quand viendra la paix, rappelez-vous, ce sera à nous, les enfants d’aujourd’hui,

De faire du monde de demain un endroit meilleur et plus heureux.

Ma sœur est à mes côtés et nous vous souhaitons une bonne soirée.

Viens, Margaret, Bonne nuit, les enfants.

Bonne nuit, et bonne chance à tous ».  

J’étais seul, et voilà,  Mary est arrivée

Cheveux blonds et lèvres comme des cerises

Quand elle m’a volé la vedette, j’ai été subjugué,

Elle a rempli mon monde de milles merveilles.   
Viens, viens avec moi

Très loin, là où les yeux ne peuvent plus voir

Viens vivre un autre temps

Pardonne-moi si tu perds la tête.
Qui es-tu à présent ?

Qui fixe les règles ?

Suis ton cœur et reviens …

Je t’en prie, reviens.
J’étais seul, et voilà,  Mary est arrivée

Cheveux blonds et lèvres comme des cerises

Quand elle m’a volé la vedette, j’ai été subjugué,

Elle a rempli mon monde de milles merveilles. 
Viens, viens avec moi

Très loin, là où les yeux ne peuvent plus voir

Viens vivre un autre temps

Pardonne-moi si tu perds la tête.

Pardonne-moi si tu perds la tête.

Pardonne-moi si tu perds, si tu perds la tête.

LOVE IS A THOUSAND TIMES 

L’amour, c’est mille fois

 

L’amour, l’amour est mille fois

Plus fort que moi, plus fort que toi.

Bon, si tu veux être un soldat,

Aller faire la guerre,

Tu crois que tu vas devenir un héros,

Mais cet air, on l'a déjà entendu maintes fois. 

L’amour, l’amour est mille fois

Plus précieux que moi, plus précieux que toi.

Bon, si tu veux devenir un meneur

Alors va, et montre le chemin.

Tu as beau nous l’affirmer,

Jamais tu ne nous donneras la liberté

Alors mieux vaut que tu reviennes bientôt.

Car l’amour, l’amour, c’est la clé.

Si seulement nous pouvions tous l’écouter,

Dans toute sa limpidité !

Je n’arrive pas à y croire,

Quand je regarde le monde, qu’est-ce que je vois ?

Mais je sais qu’il existe une issue,

Oui, elle doit bien exister,

Oh, viendra bien un jour,

Viendra bien le moment où je serai libéré.
Car j’ai envie d’entendre sa voix,

Plus douce que moi, plus douce que toi

Peu importe le temps que cela me prendra

Pour qu’elle me sourit de nouveau

Car chaque fois que j’essaie de lui faire plaisir

Elle, elle adore aller se cacher.
Je lui ai dit qu’il valait mieux qu’elle revienne bientôt.

FOR EVERY MAN -Pour chaque homme

 

Pour chaque homme qui a un rêve,

Il existe une lumière que l’on voit rarement.

Au sein d’un monde où tout est cupidité, tout est mensonges.

Pour chaque enfant qui dort éveillé,

Et qui espère que l’aube ne paraîtra jamais

Pour être seul, pour avoir peur mais ne jamais pleurer.
Où est l’amour, où est le feu

Que nous partagions,

Que nous vivions par le passé ?

Où est l’espoir, où est la flamme d'avant ? 

Où est l’homme qui dit

Qu’il n’a jamais envie de rêver, de vivre ?
Pour chaque homme qui se sent seul

Qui travaille d’arrache-pied

Je possède une voix, je sais encore hurler

Et je sais encore crier.
Ce n’est pas le chanteur, c’est la chanson

Qui fait résonner le refrain en tout un chacun

Et qui nous fait danser, nous fait chanter,

Nous fait planer.

Où est l’amour, où est le feu

Que nous partagions,

Que nous vivions par le passé ?

Où est l’espoir, où est la flamme d'avant ? 

Où est l’homme qui dit

Qu’il n’a jamais envie de rêver, de vivre ?

Il n’y a rien que nous connaissons,

Alors laissons faire la magie et regardons.

THE MORE I LOOK – Plus je regarde

 

Plus je regarde, plus je vois

Et plus la vie m’appelle.

Plus ça fait mal, plus je ressens,

Plus la guérison prend du temps.

Car les moments faciles, ça va ça vient

Ils passent et disparaissent bien vite

La sérénité est si difficile à trouver

Qu’elle m’oblige à toujours persévérer.
Plus j’apprends, moins je sais

On a si peu de temps, et tant à faire

Quand ton cœur se consume

Quand tu pleures, tu apprends.
Car les moments faciles, ça va ça vient

Ils passent et disparaissent bien vite

La sérénité est si difficile à trouver

Qu’elle m’oblige à persévérer.
Plus ça fait mal, plus je ressens,

Plus la guérison prend du temps.

Plus tu regardes, plus tu vois

Plus ces choses je les comprenais.
Car les moments faciles, ça va ça vient

Ils passent et disparaissent bien vite

La sérénité est si difficile à rencontrer

Qu’elle me fait sourire.
Plus je regarde, plus je vois

Plus cette vie s’offre à moi.

THE GARDEN – Le jardin

 

Je fais le tour du jardin,

J’étouffe les mauvaises herbes.

Tu veux venir m’aider

A essayer de planter quelques graines ?

Tous les arbres se lamentent

Les branches penchent vers le bas

On dirait qu’elles savent déjà

Qu’elles n’ont plus beaucoup de temps.
Pour reprendre le récit que Jésus nous a raconté

C’est plus vieux que le monde.

Toutes les graines qu’il a plantées ont fleuri

Dans des murs bétonnés de peur.

Le monde entier est une fête foraine,

Tu te caches derrière ton masque

Tu dis que tu te réjouis quand quelqu’un pose des questions

Tu ne crois pas en ceux qui pèchent, tu ne crois pas au péché

La seule réponse, c’est l’amour, alors pourquoi ne pas commencer par-là ?

Pour reprendre le récit que Jésus nous a raconté

C’est plus vieux que le monde.

Toutes les graines qu’il a plantées ont fleuri

Dans des murs bétonnés de peur.

Allongé dans le caniveau, en fixant les étoiles

Comme pour envoyer une lettre aux hommes sur Mars

Pour leur demander de nous venir en aide,

De nous aider s’ils le pouvait,

A désherber ce jardin

Crois-tu qu’ils le devraient ?

OPEN THE DOOR – Ouvre la porte

 

Qui peut dire, qui peut savoir

Où vogue le navire sous le vent,

En prenant son temps sous les arbres,
Etat d’esprit, état de détente.

Ça va, ça vient

Quelle vie, quel spectacle,

Empêtré dans de vieilles habitudes …

Notre amour s’est-il consumé ?

Parti en fumée, en fumée ?
Ouvre la porte, ouvre la porte

Ouvre la porte, je veux être avec toi,

Ouvre la porte, je veux jouer avec toi.
Fais ce que tu veux, sois ce que tu veux être,

Car peu m’importe ce que tu dis ou ce que tu me fais

J’ai des difficultés à vivre un seul jour sans toi à mes côtés

Je n’ai plus envie de vivre si tu n’es plus là pour les jours qui me restent

Allez, fais-moi un signe, montre-toi.
Ouvre la porte, je veux être avec toi,

Ouvre la porte, je veux jouer avec toi.

Ouvre la porte, je veux rêver avec toi,

Ouvre la porte, je veux rester avec toi dorénavant. C’est bien, ça va, ça vient,

Ça va, ça vient.

Et je sais, oui, je sais que j’ai envie qu’il n’y ait qu’un seul monde

Mais on prend ce qui nous met en joie

Et on ne voit pas que l’arbre ne cache pas la forêt
Mais je sais, oui, je sais que quand j’aurai ouvert la porte, je serai chez moi.

Je veux rentrer chez moi, je veux rentrer chez moi.

Et je sais, oui, je sais que je veux qu’il n’y ait qu’un seul monde

Mais on prend ce qui nous met en joie

Et on ne voit pas que l’arbre ne cache pas la forêt

Mais je sais, oui, je sais que quand j’aurai ouvert la porte, je serai chez moi.

Je veux rentrer chez moi, je veux rentrer chez moi.

Ouvre la porte, je veux être avec toi,

Ouvre la porte, je veux jouer avec toi.

Ouvre la porte, je veux rêver avec toi,

Ouvre la porte, je veux rester avec toi dorénavant.
Fais ce que tu veux, sois ce que tu veux être,

Car peu m’importe ce que tu dis ou ce que tu me fais

J’ai du mal à vivre un seul jour sans toi à mes côtés

Je n’ai plus envie de vivre si tu n’es plus là pour les jours qui me restent

Allez, fais-moi un signe, montre-toi.

HUNGRY -  Faim


Ce matin, au réveil,

Je me suis préparé une boisson

Oh, je me sentais comme brisé

Mon esprit était en panne

Je ne voyais aucun avenir

Incapable de garder un emploi,

Je suis un perdant

Pour encore combien de temps ?

Tu dis que tu me soutiendras toujours

Que nous mangerions toujours à notre faim

Que nous ne manquerions jamais d’argent

Tu dis que nous devons nous accrocher.  
Que peut-être la vie n’est qu’un leurre

Viendras-tu me réconforter ?

Tu dis que seul, je ne le serai jamais.  
Certains matins, au réveil,

Je ne sais plus qui je suis

Quand je regarde sous le maquillage,

Je vois un homme inquiet.
J’erre dans l’obscurité

Et je parle aux murs

Il me semble que la vie s’est retournée contre moi

Si je tombe, qui me rattrapera ?

Tu dis que tu me soutiendras toujours

Que nous mangerions toujours à notre faim

Que nous ne manquerions jamais d’argent

Tu dis que nous devons nous accrocher. 

DEATH AND A ZOO – La mort et un zoo

 

Eh, que ferais-tu

Si tu étais pris entre la Mort,

La Mort et un zoo ?

Si ton monde était coincé dans une cage,

Eh mec, ressentirais-tu de la rage ?

Pris sous un tir croisé,

Piqué par le froid barbelé,

Te sentirais-tu isolé ?
Eh, que donnerais-tu

Pour que ton cœur puisse vivre en liberté ?

Si ton amour était coincé dans une cage,

Eh mec, ressentirais-tu de la rage ?

Pris dans un glissement de terrain

Où va se cacher l’enfant ?

Se sent-il isolé ?
Quand il fait si froid en soi,

Où se cache le soleil ?

Oh, ne se sent-il pas isolé ?
Pris dans le rêve d’un homme,

C’est en silence que hurle le cœur,

N’est-il pas tout seul ?

 

SAY GOODBYE – Dis adieu

 

 Dis adieu aux vieilles habitudes,

Dis bonjour à un jour nouveau.

Si tu veux t’attarder, laisser une trace,

Tu ne cesseras de te demander

De quoi l’avenir aurait pu être fait.

Dis adieu à ce vieux paysage,

Dis bonjour à un rêve nouveau.

Tu dis que tu as envie de liberté,

Mais est-ce vraiment la liberté

Quand tu laisses tout derrière toi,

Mais que ton esprit ne peut décrocher ?
Oh, non !

Quand la nouvelle se répandra, et que ces pleurs, tu les entendras,
Des vagues de tristesse viendront alors remplir tes yeux

Tu seras seul sur une île,

Aussi seul que possible.

Dis adieu à ces vieux jours

Dis bonjour aux nouvelles habitudes.

Bon, si tu veux t’attarder, laisser une trace,

Alors souviens-toi de ce que l’on t’a dit

De la manière dont ça allait se passer,

Tu le verras bien.
Tu seras seul sur une île,

Aussi seul que possible.

Dis adieu aux vieilles habitudes,

Dis bonjour à ces jours nouveaux.

Tu dis que tu as envie de liberté,

Mais où se trouve la liberté ?

Elle se trouve sur la route qui s’étale devant toi,

C’est tout qu’il te faut savoir,

Alors partons maintenant.